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L'avancée des Allemands jusqu'à Rennes

Il est difficile d'identifier les lieux des clichés pris à mesure de la progression de la Wehrmacht en Belgique puis en France : les éléments qui permettent de distinguer les routes et les paysages sont rares.

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L'état-major établi à Rennes

D'après leur uniforme, ces hommes font partie de la Wehrmacht ou de l'administration militaire. La Wehrmacht occupe alors pratiquement toutes les casernes de la ville. La Feldkommandantur 748 s'est installée dans la faculté des lettres (place Hoche), et la Kreiskommandantur dans l’ancienne école de notariat (15, rue Poullain-Duparc) et dans l’hôtel de la Caisse d’épargne (2, rue Martenot).

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Cimetières

Les dossiers d'archives concernant les inhumations de soldats allemands (notamment le 119 W 16) nous apprennent que les seuls cimetières rennais dans lesquels des soldats allemands ont été inhumés sont : le cimetière de l'est et le cimetière des Hautes-Ourmes. Cette ancienne propriété située route de Vern, a été utilisée par les Allemands pour en faire un cimetière régional, dès le mois de juin 1944.

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Les militaires allemands en service et au repos

Les Allemands assurent la surveillance du territoire. Ils opèrent également dans le génie civil.

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Les bombardements

Les suites du bombardement du 17 juin 1940 sont connues : sauvetage dans les 24 heures suivantes, inhumation au cimetière de l'Est et le long du ballast, puis exhumation pour identification en septembre 1940.

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Les camps de prisonniers

Les camps à Rennes et aux alentours sont connus, mais ils ne sont pas aisés à reconnaître sur les clichés.

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Les prisonniers restés à Rennes

Les prisonniers français métropolitains quittent rapidement le sol français pour l'Allemagne. Les soldats du corps médical font exception à ce transfert.

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