Super pratique sur l'instant, il se désolidarise dans le temps pour ne laisser sur le document qu'une trace orangée de son passage.

Matériau souvent utilisé pour réparer un document déchiré. Aïe !

Ça rouille, ça oxyde, et puis un jour ça casse en laissant une sacrée trace !

On peut le remplacer par une belle feuille A3 blanche pliée en deux. Ainsi, le document est protégé et l'environnement est respecté !

Après leur passage, les documents sont en mode "chantiers". De véritables petits tunnels sont creusés, remplaçant les traces écrites du passé !

C'est une affaire de famille ! Une, deux, trois, elles envahissent les documents et créent de véritables problèmes sanitaires dans les magasins d'archives !

Quand le document devient un festin, le travail est minutieux et régulier ! De l'art, vraiment ?!

On les appelle les NAC ! Ces nouveaux animaux de compagnie ne sont pas vraiment nouveaux dans les fonds d'archives...

Quel que soit son état - liquide, solide ou gazeux - c'est entrée interdite dans les magasins et la salle de lecture ! On la chasse même à coup d'aspirateur !

Ici, l'auréole n'est pas là pour couronner la tête d'un saint, mais plutôt pour montrer le résultat d'un geste de grande maladresse !

Sous son effet, les documents ne bronzent pas mais jaunissent... Et ils n'ont même pas de crème pour s'en protéger !

A cause d'elle, on enferme les documents dans des boîtes ! Grace à elle, on arrive à les lire !

L'artiste d'un autre type y reconnaîtra une preuve de son art, l'archiviste y reconnaît un geste fatal pour les documents !

La mauvaise intention est la plus perverse des dégradations. Invisible, inodore, imprévisible, elle peut s’immiscer partout et à tout moment. Gardons l’œil ouvert !

Utilisée depuis le Moyen Âge, je peux être de noire à violette. Mignonnette à souhait, mon pouvoir destructeur n'en fait que le plus d'effets !

Les archivistes n'ont pas encore trouvé de solution contre son effet corrosif ! On ne peut que constater et espérer que la dégradation ne soit pas trop rapide...