Les Archives municipales de Rennes ont numérisé leur premier inventaire, réalisé au tournant du 18e siècle. L'occasion de se pencher sur l'histoire des archives rennaises et de découvrir ce document exceptionnel, conservé sous la cote BB 701.

Les marchés de restauration se déroulent sur 4 ans pour en faciliter l'organisation. La passation, qui aboutit à la réception de plusieurs candidatures et à la sélection de l'une d'entre elles, est faite une fois au début du marché. Ensuite, les prestations sont réalisées par bons de commande.

Le sport, dont la matrice est élitiste, n'est pas venu naturellement aux masses. Elle s'en sont emparées, volontiers, sous diverses formes, parfois inattendues, voire baroques.

Comme chaque année, plusieurs centaines de documents viennent de quitter le bâtiment pour partir en numérisation. Pendant cette opération réalisée par un prestataire externe, plusieurs registres d'état-civil, de délibérations, des photographies, des cartes postales et des affiches grand format sont donc actuellement indisponibles en salle de lecture et nous nous en excusons. Tous les documents devraient revenir après l'été.

Depuis l'entre-deux-guerres et la création d'un sous-secrétariat d'État à l'éducation physique en 1928, la pratique sportive en France a une histoire qui s'entremêle indéniablement avec les champs politique, d'action sociale et de projet de société. L'exemple rennais est particulièrement intéressant car très précoce en la matière.

Dans le cadre de la programmation proposée à Rennes à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, les Archives de Rennes vous proposent de découvrir ou re-découvrir la frise chronologique en ligne "Archives au féminin" !

À l'heure de finaliser l'enquête statistique adressée comme chaque année au service interministériel des Archives de France, jetons un œil dans le rétro pour revenir sur quelques tendances qui ont marqué l'année 2023.

Découvrez le nouveau programme d'actions culturelles des Archives de Rennes, pour le second trimestre 2024.

Ces rendez-vous sont gratuits et ouverts à tous. Ils ont lieu dans les locaux des Archives de Rennes (18, avenue Jules-Ferry).

La violence féminine, au 18e siècle, s’inscrit dans le contexte d’une société elle-même violente. Il semble alors légitime de régler un conflit par des injures et des coups. C’est donc essentiellement une violence du quotidien, trouvant ses causes dans la vie de tous les jours. La violence a ses codes, déborde dans l’espace public, et sévit aussi dans la sphère privée.

Nouvelle responsable des fonds d'archives modernes et privées, Enora Hubert est arrivée en février aux Archives de Rennes.